Comme vous l’aurez compris, on découvre Phnom Penh dans des conditions un peu particulières : pas de bagages et on arrive à un moment de fête nationale où tous les magasins sont fermés pour 4 jours.
On découvre une ville qui chaque jour se réveille un peu plus et, d’une ville déserte, on arrive enfin à une vrai ville vibrante asiatique.
Surnommée autrefois la Perle de l’Asie, Phnom Penh est bien agréable comme ville. Quelques restes du protectorat français (avec notamment des maisons coloniales splendides), un (gros) zeste de ville chaotique asiatique et une pointe de modernité avec des bâtiments tout neufs, vous donnerons à peu près une idée de cette ville. Ceci dit, les premiers buildings ont fait leur apparition, sonnant le glas d’une capitale asiatique sans gratte-ciels. Il est a parier que dans 15 ans, Phnom Penh aura perdu une partie de sa magie et ressemblera à Bangkok ou à Saïgon.
Bien sûr, c’est bouddhiste donc pagodes, stupas et bouddhas à volonté !
La vie ici est plutôt facile, les cambodgiens sont adorables et on peut presque tout faire à pied. Mais le climat tropical ralenti beaucoup nos velléités du matin. De temps en temps, on se prend une rincée puisque c’est encore la mousson, mais franchement pas de quoi fouetter un éléphant. C’est même beaucoup mieux que ce à quoi on s’attendait.
Le Palais Royal est un ensemble de monuments tous plus somptueux les uns que les autres. (ça n’est pas sans rappeler des photos du Palais royal de Bangkok).
L’enceinte du Palais est entièrement peinte avec des fresques datant de 1900.
Le sol de la Pagode d’argent (dans l’enceinte du Palais Royal) est entièrement en argent (recouvert de tapis…).
Le Musée National contient la plus fabuleuse collection de statuaire khmère (mais interdit de faire des photos)
LA SUITE du voyage vers Angkor.
Retour :
This entry was posted in Cambodge